Le hasard lui apprend l'existence au Congo d'une usine d'extraction [de quinine] en faillite à l'époque, gérée par l'OPAK, un parastatal aux activités parfois curieuses. Avec un client potentiel (...) il rachète l'usine et s'installe à Bukavu.(...)
[Quelques années plus tard] il décide de devenir planteur et accumule tant de propriétés qu'il y gagne le surnom de « roi du quinquina ». (...) En 1970, il vend tout (...) et se retrouve à la tête de [plus de] 100 millions mais n'écoute pas son banquier qui lui suggère de tout placer en or.
Dans la salle d'attente d'un dentiste, un prospectus vante les mérites du téléski nautique. Eddy Meeùs en obtient aussitôt l'exclusivité. Reste à trouver un plan d'eau. Ce sera l'étang de Limal (...) au départ de la première syllabe des entités de Wavre, Limal et Bierges, [il] forge un nouveau nom : Walibi. » (Janvier 2003)