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Ti t'appelles Aïcha, pas Jouzifine !

L'histoire ? Tout d'abord, un prénom « impossible » – Tamimount – ressenti comme une terrible injustice ! Mimi pour les intimes et puis Aïcha, la copine qui a toujours été là, pour tout vivre, pour jouer les contrepoids. Née au Maroc, elle a eu une enfance en harmonie avec sa petite personne, permettant à ses ailes de se déployer pour supporter le déracinement et sa « nouvelle » vie. Mimi, elle, n’a pu puiser dans ce creuset du pays natal pour se construire, vivant dès le tout jeune âge la double fracture de l’immigration et de la différence. Issues toutes deux de familles marocaines, elles ont grandi à Bruxelles et connu les tiraillements entre deux cultures. Elles sont passées de la fête de l’Aïd à la Saint-Nicolas et de l’intransigeance paternelle à la lutte pour l’émancipation des filles.

D'apprentissages douloureux en déconvenues burlesques, l’auteure, Mina Oualdlhadj nous emmène dans le dédale de ses souvenirs et de ses conversations, plutôt enlevées, avec sa copine Aïcha, et nous permet de mieux comprendre les aspirations – inconciliables ? – que vivent les jeunes de la « deuxième génération ». Une « arme de combat » ? Une étude ethnosociopsychologique sur l'immigration ? Non : un récit sans prétention qui permettra aux immigrés d'origine musulmane de se retrouver, complètement ou partiellement, dans la problématique illustrée par l'auteure et aux autres de s'y plonger, histoire de faire connaissance… (Mai 2008)